L'État pratique-t-il le sourcing ? Accepte-t-il de se pencher sur les nouvelles technologies ou préfère-t-il se réfugier dans une forme de conformisme ? Sur certaines solutions totalement numériques, les acheteurs publics n'ayant pas le temps de pratiquer le sourcing, ces derniers se contentent de passer des marchés publics qu'ils connaissent déjà. Cette tendance conduit à conserver des technologies anciennes et généralement américaines, pour lesquelles l'ensemble des briques sont rassemblées en un même endroit. En toute logique, c'est l'ANTS qui devrait s'occuper de ces sujets. Quoi qu'il en soit, sommes-nous en capacité d'aller sourcer le meilleur de l'état de l'art, pour ensuite donner l'ordre à l'Imprimerie nationale de faire le nécessaire ?