Vous avez indiqué que les citoyens considèrent que l'État est le plus à même de s'occuper des questions relatives au domaine de l'identité. Percevez-vous toutefois une réticence de la part de certains citoyens français à confier leurs éléments biométriques à l'État dans l'optique que celui-ci les intègre dans un titre d'identité, qui ferait ensuite office d'identité numérique ? Comment évolue la situation sur ce point ?