Nous accusons un tel retard sur le sujet de l'identité numérique qu'il est à craindre qu'il ouvre une porte, comme dans d'autres domaines avec les Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM), à des entreprises privées qui imposent leurs propres standards. Non sans raison, des collègues parlementaires ont adressé un courrier au Premier ministre dans lequel ils mettent en exergue l'ampleur de notre retard. En comparaison d'autres États européens, celui-ci est indéniable.