Les assurances tentent-elles, non sans opportunisme, de conquérir un nouveau marché ou se rendent-elles compte qu'elles risquent de perdre des clients si elles s'avèrent incapables de protéger les entreprises de leur portefeuille, à présent numérisées et, partant, plus vulnérables, car exposées à des risques jusque-là inexistants ?