Oui. En revanche, ce n'est pas l'Inde qui a fait appel à nous en matière de solutions biométriques, mais l'ONU, pour la gestion des réfugiés. Nous disposions déjà, sur le papier, d'un moyen rapide d'identifier les individus, sans risque pour leurs données privées, ni création de doublons. La prochaine étape du projet consistera dans le déploiement de notre blockchain couplée à notre dispositif biométrique.