Je suis tout à fait d'accord avec ce qui a été dit. Le phénomène est difficile à chiffrer, mais la déviation de l'utilisation de ces filières est indéniable. J'en veux pour preuve le fait – je réponds ainsi à la question de M. Mélenchon – que nous retrouvons 87 % des étudiants issus d'un IUT dans nos formations à bac plus cinq, en master, avec des baccalauréats généraux.
Mon intime conviction est que 30 % ne sont pas assez, mais il faut bien commencer quelque part.