Pourriez-vous dresser le bilan agroalimentaire de l'accord économique et commercial global, le CETA, sur la filière bovine ?
Il semble que la doctrine européenne évolue avec la nouvelle présidente de la Commission et que le respect de l'accord de Paris devienne une clause essentielle pour les futurs accords que l'Union européenne aura à discuter. Or le Royaume-Uni ne veut pas entendre parler de cette clause.
Ma collègue Martine Leguille-Balloy souhaite savoir s'il est possible de rouvrir des discussions avec la Commission européenne afin de permettre les critères de préférence locale dans la commande publique de produits agricoles et alimentaires dans le cadre de la stratégie « De la ferme à la fourchette » qui sera présentée prochainement par la Commission européenne.