. Il ressort du rapport que l'Union européenne a une législation protectrice du bien-être animal, sauf pour quelques secteurs comme les animaux domestiques. Ces manques doivent être comblés. De même, des règles pourtant existantes, comme celle sur le temps de transport des animaux vivants, sont mal appliquées. Ces dysfonctionnements doivent être corrigés. Toutefois, il me semble fondamental que soit respecté le principe de subsidiarité, notamment en ce qui concerne l'étourdissement, pour lequel le cadre français est de l'avis général équilibré.
Ma question porte sur la conditionnalité des aides de la PAC au respect du bien-être animal. Celle-ci ne risque-t-elle pas de fragiliser encore plus des filières d'élevage déjà durement frappées par la crise ?