En tant que députée finistérienne, ma question porte sur la pêche, qui est une préoccupation de plus en plus forte dans ma circonscription. Les pêcheurs bretons, mais également normands et des Hauts-de-France, sont extrêmement inquiets. Le négociateur Michel Barnier a récemment déclaré que l'Union européenne était prête à consentir un effort raisonnable pour préserver les activités de pêche, en concédant un accès aux eaux réciproque et stable, ainsi qu'une répartition juste des quotas. Quel est cet effort raisonnable ?
Au-delà de la pêche, la France a-t-elle posé une autre ligne rouge à un accord en matière de concurrence et de règlement des différends ? Il semblerait que les États européens ne soient pas d'accord sur la question.