L'agriculture française et européenne a besoin d'échanges et d'exportations, je pense en particulier aux secteurs viticole ou céréalier, mais certaines filières, plus fragiles, comme celles de la viande bovine ou ovine, doivent sans doute être exclues d'un certain nombre de négociations internationales.
Avis défavorable à l'amendement n°8 et favorable au n°16 car un réexamen s'impose avant une adaptation ou une correction des mandats confiés à la Commission européenne.