Le raisonnement est le même. Le succès politique du mot « moratoire » emporte tout mais je considère en l'occurrence que ce n'est pas le problème : la négociation est en panne. Comment voulez-vous l'arrêter alors qu'elle n'avance pas ? Il convient là encore de procéder à un réexamen du mandat de négociation et à une éventuelle adaptation, ce que je crois d'ailleurs nécessaire de faire d'une manière plus musclée avec tout ce qui se passe au Brésil.