En ce qui concerne des sites comme celui de l'Assemblée nationale, dans lesquels on ne peut pas faire n'importe quels travaux, il me semble qu'il faut se poser la question en termes d'organisation. Ce qui compte, c'est que la personne puisse accéder aux lieux. Pour certains sites très spécifiques, l'accompagnement physique peut être préférable quand il s'agit d'aider la personne à monter trois marches. Ce sont souvent les petites ruptures de parcours qui sont gênantes. On peut aussi imaginer que certaines réunions de commission se tiennent au rez-de-chaussée ou un autre mode d'organisation plutôt que d'envisager des travaux très onéreux ou incompatibles avec le type de bâtiments.