Je suis incapable de vous le dire. Je le répète, le renseignement pénitentiaire ne dépend pas des chefs d'établissement. Certes, un officier est basé dans l'établissement et nous passe des informations en cas de risque d'évasion ou d'attaque ; là, rien n'est remonté, car il n'avait sans doute pas d'information. En outre, il n'a pas de relation avec la DGSI, c'est la CIRP qui s'en charge et, au niveau national, il serait logique que ce soit le service national du renseignement pénitentiaire.