Les maisons centrales et tous les établissements pour peine ne sont pas surpeuplés. Au 2 mars, Arles comptait 130 détenus pour 140 places ; ils sont 127 aujourd'hui. Nous disposons d'un effectif théorique de 151 surveillants et étions à 145 ce jour-là, dont 17 premiers surveillants, et même 18, et 10 officiers sur 10 théoriques. Il n'y avait donc pas de problème de couverture. Toutefois, il faut prendre en compte le taux d'absentéisme, lié aux congés maladie, aux accidents du travail, de trajet et aux agressions, qui représentent cinquante jours en moyenne par an et par agent.