Ma question porte sur la violence au sein des armées, sans aucune intention polémique.
Le premier féminicide de l'année 2022 est malheureusement intervenu le 1er janvier, au sein d'un couple de militaires. Par-delà ce qui reste un fait divers, comment envisagez-vous la gestion de l'agressivité nécessaire au combat, qui est recherchée mais qui ne doit pas se transformer en violence ? Y a-t-il eu une défaillance dans la détection d'un syndrome de stress post-traumatique ou d'une conduite addictive ? Sans trahir le secret de l'instruction, il se trouve que le militaire mis en examen était alcoolique.