Quoi qu'il en soit, il s'agit d'une situation exceptionnelle et probablement conjoncturelle. Elle n'en appelle pas moins une réaction. Je précise que, sur 11 millions de consommateurs de gaz en France, nous estimons que 5,5 à 6 millions de personnes disposent d'une offre à tarif fixe et ne seront donc pas concernés. Mais il en reste beaucoup d'autres : les 2,8 millions de nos concitoyens au tarif réglementé et les 2,2 millions qui, eux, voient leur tarif indexé sur les cours internationaux du gaz.