Oui, sans doute, à nous ubériser et, en tout état de cause, à empêcher le débat sur l'avenir du droit du travail et sur les conditions dans lesquelles nous exerçons nos activités de se déployer. Nous nous opposons fermement à cette volonté de légiférer par ordonnances. Si des lois doivent être votées, elles doivent être pleinement examinées par le Parlement. Or vous nous présentez un projet de contournement du Parlement, qui vise par la même occasion à permettre aux plateformes de contourner le droit social.