Au-delà du dessaisissement du Parlement dès lors que le Gouvernement légifère par voie d'ordonnance, la principale question reste celle du dialogue social. Trouver la bonne articulation est une tâche qui incombe aux représentants des indépendants et à ceux des plateformes. Nous ne souscrivons donc pas à cette habilitation, pour d'autres raisons que les précédents orateurs, et nous souhaitons la suppression de l'article 2.