Et là, il faudrait fermer les yeux ? On vous écouterait sans réagir affirmer que cela ne concerne que 30 familles sur 60 000 ? Mais enfin, regardez la réalité en face et acceptez que l'on prenne des mesures qui, oui, constitueront peut-être un cadre un peu plus contraignant qu'auparavant pour certains – dans lequel ils se glisseront sans aucun problème –, mais qui permettront d'abord d'identifier le phénomène des enfants déscolarisés pour des raisons d'intégrisme religieux, que l'on ne peut laisser passer sans rien faire.