Pas du tout, il s'agit d'un problème d'investissement des ménages. Quel en est l'intérêt du point de vue des politiques de santé, monsieur le rapporteur ? Aucun !
Cette discussion a été passée sous silence et ceux qui ont subi des prélèvements sur leur plan d'épargne logement les ont évidemment trouvés complètement injustes. On a donc fait marche arrière, mais cette décision a été examinée en commission des finances – notre collègue Louwagie s'en souvient. Il ne s'agit pas d'opposer les commissions : il est naturel qu'on discute beaucoup de sujets tels que l'orientation de l'épargne en commission des finances, moins en commission des affaires sociales ; mais il faut bien que chaque sujet soit traité quelque part, et je regrette qu'aujourd'hui il y ait de tels angles morts, qui se chiffrent en milliards d'euros.