Tout porte à croire que nous avons pris de l'avance sur le scénario du pire. J'ai entendu hier des parlementaires qui, de bonne foi, voulaient décaler à la fin du mois de septembre l'extension du passe sanitaire et je me suis demandé si nous lisions les mêmes courbes.
L'histoire se répète toujours : la première fois comme une tragédie et la seconde comme une farce – vous connaissez la formule de Marx.