Le 19 juillet, l'ARS a affirmé qu'il n'y aurait plus de primo-vaccinations car sur les 200 000 doses supplémentaires demandées, seules 40 000 étaient disponibles. Le parcours vaccinal se trouve donc gelé. Le lendemain, le préfet, voyant que l'affaire faisait grand bruit, a rétabli la possibilité de recevoir une première dose de vaccin. C'est très bien, mais avec quelles doses ?