Lisez-le à l'Assemblée, car vous y verrez que le directeur général de l'ARS a dit que les D1, c'est-à-dire les primo-injections, n'étaient pas suspendues et qu'il avait simplement été rappelé qu'elles devaient s'inscrire dans le cadre strict des quotas alloués. L'élan vers la vaccination observé depuis les annonces présidentielles…