S'ils n'ont pas la capacité de travailler, s'ils perdent leur clientèle, si leur chiffre d'affaires diminue, la situation sera très grave pour certains d'entre eux, d'autant que cela intervient après des mois de difficultés. Nous devons protéger ces compatriotes et cela exige de leur accorder quelques semaines supplémentaires, afin qu'ils bénéficient non pas d'une saison estivale, mais d'une année au cours de laquelle ils auront pu travailler correctement.