Mon intervention sera très brève, le principe de cet amendement ayant déjà été défendu. Cependant, je propose pour ce qui me concerne la date du 1er septembre – je la proposerai également dans d'autres amendements sur d'autres points –, car, depuis les annonces du président Emmanuel Macron, les Français ne s'y retrouvent plus dans le calendrier fixé : des dispositions sont entrées en vigueur aujourd'hui, d'autres s'appliqueront au 1er août, d'autres au 30 août, d'autres au 15 septembre et d'autres encore au 30 septembre. Il faudrait donner à ce calendrier une forme de cohérence et choisir une date unique pour l'entrée en vigueur des différentes dispositions.