Encore une fois, sur un sujet d'une telle importance, vous avez une responsabilité, celle de favoriser la concorde. Je comprends un peu mieux les propos de M. Macron, il y a un an et demi : « Nous sommes en guerre. » Comparez cette déclaration à celle que le président allemand a faite au même moment : non, nous ne sommes pas en guerre ; tout ceci est un test d'humanité. La brutalité avec laquelle vous entendez traiter le peuple français est en contradiction avec la concorde qu'exigent les questions de santé. Vous êtes en train, j'y insiste, de brutaliser nos concitoyens alors que c'est exactement l'inverse qu'il faut faire.