Avec tout le respect et même l'amitié que j'ai pour vous, monsieur le président, je tiens à relever que vous m'avez coupé la parole sans me laisser défendre mes deux amendements n° 851 et 852 et m'avez privé d'un temps de parole important.
Je saisis cette occasion de souligner que le Parlement est chargé de contrôler l'action du Gouvernement : quand le Gouvernement ne daigne pas répondre aux questions et se permet des petits rires cyniques et méprisants, au lieu de répondre aux questions sur le fond,…