Comme ceux précédemment défendus par mes collègues, il concerne la sanction très forte prévue à l'encontre des restaurateurs et des cafetiers. Nous demandons le remplacement du mot « cinquième » par le mot « quatrième ».
Nous en revenons toujours au même débat : vous êtes constamment en train de sanctionner et de punir. La France n'est plus un pays de confiance, dans lequel on cherche à créer de la dynamique, mais un pays de punition, dans lequel il convient de contrôler toujours plus.