Vous ne m'avez pas vu, monsieur le président, quand j'ai voulu intervenir sur les amendements de suppression. Je m'exprime maintenant parce que je trouve dommage que personne ne défende les amendements alors que cet article est vraiment catastrophique. J'ai du mal à comprendre que nous nous retrouvions dans une telle situation après avoir applaudi depuis nos balcons les soignants qui étaient en première ligne.