Dans le Maine-et-Loire, par exemple, on ferme des lits et les établissements ne sont plus capables d'accueillir les patients comme il le faudrait. Les mesures que nous sommes en train d'adopter risquent de mettre certains d'entre eux dans une situation plus difficile encore. Il faut donc faire preuve de souplesse. J'espère que nous y parviendrons dans le cadre du travail parlementaire qui va se poursuivre, sans quoi, j'y insiste, des établissements seront contraints de fermer et se trouveront en très grande difficulté.