Et pendant la première guerre mondiale, où la France, justement, était aussi dans une situation d'urgence, c'est à l'Assemblée nationale que se prenaient les grandes décisions sur le roulement des Poilus au front, sur leur approvisionnement, sur la logistique.
Aujourd'hui, cette assemblée est en démission. On claque des doigts pour qu'elle se réunisse une nuit en urgence parce qu'il faut valider les décisions du Président de la République. Sur l'ordinaire, sur les autres solutions à imaginer, les moyens de mettre des aérateurs partout, d'analyser les eaux usées, sur tous ces sujets, nous sommes absents.