Il s'agit d'une question très importante : ces amendements visent à définir une trajectoire spécifique pour les départements et régions d'outre-mer en matière de réduction de l'artificialisation des sols. Nous n'avons pas fixé de pourcentage à cette fin dans le projet de loi, considérant qu'il convenait d'examiner ultérieurement le cas de ces territoires, chacun d'entre eux présentant des spécificités. Je suis défavorable à ce que l'on retienne un taux uniforme de 25 %, car nous devons nous laisser le temps de définir une trajectoire sur mesure. Tel est bien l'esprit du texte.