Monsieur Prud'homme, lorsque je parle de « services de l'État », c'est au sens large. Vous avez rebondi assez malicieusement aux propos de M. Millienne, mais il n'a parlé que des collèges et des lycées ; c'est moi qui ai évoqué le cas des universités, qui sont effectivement concernées par l'amendement de Mme la rapporteure, tout comme les entreprises où l'État est majoritaire, et tous les services de l'État. Cela inclut donc les services de l'armée, les hôpitaux, etc. Il faut donc bien entendre « services de l'État » au sens large.