Nous reprenons ici un débat déjà bien avancé concernant les aliments transformés. Le problème est qu'à ce jour, les ingrédients ultratransformés ne sont pas définis – ils le seront d'ici à la fin de l'année, comme je vous l'ai déjà indiqué. Notez qu'à l'article 60, l'amendement n° 7233 de Mme Melchior vise à intégrer le caractère transformé des aliments dans les critères de la commande publique. D'ici à la promulgation de la loi, nous pourrons définir plus précisément les ingrédients ultratransformés et intégrer ce critère à la commande publique pour les cantines. C'est, je crois, le pas le plus avancé que nous puissions faire pour le moment. Mon avis est donc défavorable.