Je n'ai rien à ajouter à l'excellente démonstration de Mme la rapporteure. Je vous renvoie par ailleurs à l'amendement n° 5386 , que nous examinerons ultérieurement. Aux termes de cet amendement, le porteur d'un projet alimentaire territorial pourra engager une démarche de certification environnementale pour l'ensemble des exploitations agricoles cocontractantes, lesquelles pourront ainsi bénéficier des dispositions de la loi ÉGALIM. Autrement dit, par le biais des PAT – que nous soutenons très fortement, puisque nous y investissons 80 millions d'euros – et de la certification environnementale, nous parviendrons à prendre en compte les produits issus de circuits courts, tout en promouvant un certain nombre de transitions. Cela nous paraît une bonne solution.