Monsieur le rapporteur général, 50 %, ce n'est pas n'importe quel seuil. Il permet de s'assurer qu'au moins la moitié des produits qui composent la garbure gersoise proviennent de France – pas même forcément du Gers !
Je constate que la majorité, avec tout le respect que je lui dois, est prête à accepter que les Français soient trompés lorsqu'ils achèteront des produits qui ne contiendront même pas 50 % de matières premières originaires de France alors qu'ils afficheront la mention « élaboré en France », « transformé en France » ou, pour reprendre une expression que vous avez employée et que je réfute, « made in France ».