Il y a une confusion entre agriculture biologique et agroécologie. L'agriculture biologique, c'est un cahier des charges, auquel on peut répondre avec un modèle agroécologique ou avec un modèle moins écologique – qui consiste par exemple, en grande culture, à faire du désherbage thermique ou à acheter des fientes de volailles qui viennent de 300 kilomètres plus au nord.
Les agriculteurs que j'ai évoqués tout à l'heure, qui bénéficient d'un taux de valeur ajoutée de 50 %, s'inscrivent dans les circuits classiques, totalement conventionnels.