En octobre 2018, la première proposition de la Commission européenne prévoyait ainsi une diminution significative des budgets de la politique agricole commune. C'est la France et son Président de la République qui ont véritablement retourné la table – car c'est bien de cela qu'il s'agissait – en juillet 2020, permettant une révision à la hausse des montants alloués à la politique agricole commune et évitant ainsi qu'elle ne soit une variable d'ajustement.
C'est ce qui nous a permis d'assurer un budget de la PAC à peu près semblable à celui que nous connaissons aujourd'hui, soit environ 9,5 milliards d'euros par an.