Sortons-en donc. Considérons les faits. Surtout, cessons de décourager tous ceux qui se battent au quotidien, qui nous écoutent et qui se disent : mais quelle aberration, puisque nous vivons de l'environnement, bon sang !
Il y a vingt-cinq ans, quand j'ai décidé de devenir ingénieur agronome, c'est parce que j'avais l'environnement chevillé au corps. Le premier, René Dumont, qu'était-il, sinon agronome ? La voilà, la réalité ! Soutenons donc nos agriculteurs, et soyons fiers de ce que nous sommes en train de faire collectivement et collégialement.