Ce taux dépend des scénarios – que je pourrais vous communiquer – mais, de manière générale, les exploitations des zones intermédiaires y accèdent plus facilement. J'insiste sur ce point car ce n'est pas l'intuition première qu'on peut avoir, mais on le constate avec l'approche agronomique.
Enfin, en matière d'architecture environnementale – ce qu'on appelle des infrastructures agroenvironnementales –, les discussions sont en cours. Nous explorons trois voies d'accès à l'écorégime : soit par la diversification des cultures, que j'ai mentionnée, soit par les certifications – HVE, bio, etc. –, soit par les infrastructures agroenvironnementales. Celles-ci, en plus de représenter des bonus, pourraient devenir une voie directe d'accès à ces aides. Nous sommes en train d'y travailler.