Cependant, malgré ces aides massives, des milliers d'entreprises de ma circonscription restent fragilisées.
Citons d'abord les hôtels qui, comme le Westin dans le 1er arrondissement, dont j'ai rencontré la direction et les salariés, ont connu une année blanche. Ils vont multiplier les plans sociaux, ce qui menacera plusieurs milliers de postes malgré les aides financières reçues car le retour à la normale n'est pas espéré avant 2024.
Autre exemple : les parcs de stationnement, dont l'activité est en partie liée à ces hôtels. Les dirigeants du parking Blanche-Pigalle, dans le 9
Monsieur le ministre délégué, je salue les évolutions du fonds de solidarité pour les discothèques. Est-il possible de poursuivre l'adaptation des critères d'éligibilité, voire de les rendre applicables rétroactivement, sous conditions, afin de permettre aux qui ont investi à Paris de poursuivre leurs activités au sortir de la crise ?
Par ailleurs, serait-il possible d'avoir des précisions sur les aides de l'État versées aux hôteliers, aux restaurateurs et autres gérants de bar à partir du mois de juin ?