Monsieur le ministre, je regrette évidemment votre décision, et déplore qu'aucun accord n'ait été trouvé entre votre ministère et celui des affaires étrangères.
Il aurait été heureux d'envoyer un signal positif à nos compatriotes de l'étranger, en particulier à ceux qui scolarisent leurs enfants dans notre système scolaire.