Je suis ministre déléguée chargée de l'insertion mais je suis aussi une élue locale enracinée dans un territoire, et j'échange quotidiennement avec des jeunes, avec des étudiants, avec les acteurs de la lutte contre la pauvreté. Je trouverais très dommage que vous sous-entendiez le contraire.
Vous estimez qu'il suffit d'augmenter la dotation globale de fonctionnement pour que les départements puissent faire face aux dépenses nouvelles. Mais rien, dans votre texte, n'est prévu en ce sens : aucune concertation, aucune période transitoire, aucun financement.