Avec tout le respect que j'ai pour vous, ancienne collègue de la commission des finances, je tiens à dire que les mots ont un sens, en particulier lorsqu'ils sont prononcés par quelqu'un comme vous dont je connais l'engagement.
Tout ce que je suis récuse votre utilisation du terme « viol ». Tout ce que je suis récuse votre sémantique : vous parlez de viol et de consentement pour parler de sondages ou d'études. Vos travaux sont ce qu'ils sont, mais les mots ont un sens. Il faut savoir raison garder et conserver un peu de mesure dans ses propos. Je n'en dirai pas plus ; l'utilisation de ces termes me scandalise profondément.