Mon collègue Bruno Millienne l'a rappelé lors de la discussion générale de cet après-midi sur la proposition de loi relative aux impacts négatifs de la publicité, et il a raison : il ne s'agit plus d'une niche parlementaire mais d'une journée d'interdictions et de taxations – taxons, taxons, il en restera toujours quelque chose, selon vous.