Enfin, cette proposition de loi visant à imposer les grandes entreprises me donne l'occasion de saluer au nom de mon groupe les avancées des négociations relatives au taux minimum d'imposition qui ont pris un nouveau départ avec la nouvelle administration américaine. La France, depuis le début du quinquennat, s'engage fortement sur ce sujet et nous espérons que l'on arrivera bientôt à un accord – même si, en matière fiscale comme en d'autres, le diable se cache dans les détails et les assiettes… fiscales, bien sûr.
Pour toutes ces raisons, les députés du groupe Dem s'opposeront à ce texte.