Si chacune des collectivités voit ses dépenses évoluer de plus de 2 %, une petite difficulté se posera pour les finances publiques. Toutefois, nous croyons en l'intelligence territoriale. Les élus rappellent qu'ils sont responsables ; ils ne s'engageront pas dans des dépenses inutiles, alors que les dotations, même si elles ne baissent pas, sont somme toute assez restreintes. Nous laissons donc faire l'intelligence des territoires et fixons un objectif pour les 1 % des communes, responsables des deux tiers de la dépense publique. L'augmentation de 1,2 % des dépenses des autres correspond à un tiers de la dépense publique.