Monsieur le secrétaire d'État, nous sommes bien d'accord sur les spécificités ultramarines comme celles de Saint-Pierre-et-Miquelon : l'intention du Gouvernement est de permettre au préfet de pouvoir adapter les mesures localement. Vous n'avez évoqué que le couvre-feu mais, si j'ai bien compris, ce sera également le cas pour d'autres dispositions comme l'isolement et les motifs impérieux. Dans ces conditions, je retire les amendements.