L'alerte vaut pour ce jour, mais aussi pour ceux à venir. Pour la bonne organisation des débats, vous allez sans doute nous faire revoter sur l'article 1er à la fin de l'examen du texte, et vous serez alors peut-être en nombre suffisant pour le faire adopter, mais il faudra tenir compte de ce vote. Vous ne pouvez pas gérer cette crise tout seuls, dans votre coin, selon vos propres désirs. D'ailleurs, le secrétaire d'État au banc a-t-il déjà assisté à un seul conseil de défense ? C'est dire la petitesse du cénacle qui décide de notre quotidien, jusque dans les moindres détails.