Sans revenir sur tout ce qui vient d'être dit, je veux insister sur l'avis rendu par le Conseil d'État, qui a dénoncé le risque d'une forme d'absurdité administrative liée à des appréciations disparates sur la nécessité de l'état d'urgence sanitaire selon les territoires. C'est la raison pour laquelle, avec plusieurs de mes collègues, nous proposons de supprimer l'article 2.